lundi 14 mars 2011

Types de traitements Chirurgie

Les différents traitements

Le choix d'un traitement ou d'une combinaison de traitements particuliers dépend de différents facteurs dont les plus importants sont : le type de cancer, le degré d'extension de la maladie, l'âge de la personne et son état général. En d'autres termes, les traitements sont adaptés individuellement.

Les traitements des cancers associent différentes méthodes : chirurgie, radiothérapie, chimiothérapie, hormonothérapie, immunothérapie en constituent les principales.

Dans ce chapitre, vous trouverez des informations sur les traitements tant traditionnels que novateurs. Pour y accéder, cliquez sur les catégories ci-dessus.

Chirurgie

Introduction

Que de progrès !

La chirurgie est certainement la technique la plus ancienne utilisée pour soigner les cancers. Ses progrès ont été fulgurants, combinant les découvertes réalisées dans de nombreux domaines. Grâce aux antibiotiques, aux anesthésiques modernes, à la respiration assistée, aux transfusions, aux anticoagulants (qui préviennent les embolies), aux soins infirmiers, à la kinésithérapie, etc., des opérations de plus en plus importantes ont été rendues possibles, et davantage de malades ont pu en bénéficier, quel que soit leur âge.
Au cours des 20 dernières années, des associations de plus en plus fréquentes de chirurgie, radiothérapie et chimiothérapie ont permis d'obtenir de meilleurs résultats et/ou de diminuer les séquelles (opérations moins mutilantes).
Aujourd'hui, la chirurgie est d'un usage courant en cancérologie, comme moyen de traitement, mais aussi pour permettre un diagnostic précis de la maladie (biopsie). Parfois, elle est utilisée pour assurer une reconstruction après traitements (chirurgie réparatrice) ou pour soulager le patient (chirurgie palliative).

De multiples progrès

..à tous les stades de l'opération

De l'anesthésie à la microchirurgie, les progrès ont été nombreux.
Aujourd'hui, on opère des personnes plus fragiles grâce à des techniques d'anesthésie ou de réanimation plus performantes.
Les sutures, inspirées de la chirurgie esthétique, permettent des cicatrices plus discrètes.
Des opérations moins mutilantes abrègent la période de convalescence.
Une petite chirurgie peut faciliter l'administration d'une chimiothérapie par l'implantation sous anesthésie locale d'un Port-A-Cath (chambre d'injection placée sous la peau et reliée à une grosse veine).

Les cicatrices 

De nombreux progrès dans ce domaine

Le chirurgien essaie toujours de rendre les cicatrices aussi discrètes que possible.

Différentes techniques, inspirées de la chirurgie esthétique, ont permis de notables progrès à cet égard.

Le choix de l'emplacement des incisions peut également être déterminant, pour autant bien sur qu'un choix soit possible.

Ceci étant, le résultat final dépend également de la façon, variable d'un individu à l'autre, dont la peau réagit et cicatrise.

Avec le temps, les cicatrices pâlissent et deviennent de moins en moins visibles.

Pendant la première année qui suit l'opération, il vaut mieux éviter d'exposer des cicatrices au soleil.

But de la chirurgie

L'utilité de la chirurgie 

La chirurgie comme moyen de diagnostic   
   
Un diagnostic cancérologique précis nécessite le prélèvement de cellules suspectes pour analyse microscopique (biopsie). Cet examen permet de déterminer si le tissu en question est effectivement cancéreux et, de plus, si c'est le cas, de savoir à quel type particulier de tumeur l'on est confronté. Il s'agit d'une étape déterminante, puisque le choix des traitements dépend notamment de la nature cellulaire du cancer. Différentes techniques de prélèvement existent (ponction à l'aiguille, endoscopie ou chirurgie). En fonction de l'organe atteint et de la taille de l'anomalie, on prélève toute la tumeur ou seulement une partie.
Le prélèvement est réalisé sous anesthésie locale ou générale suivant la localisation tumorale, la technique utilisée et l'ampleur du prélèvement. Celui-ci est parfois précédé par un repérage de la zone suspecte (mise en place d'un repère sous contrôle radiographique), afin de s'assurer que la biopsie aura bien lieu au bon endroit

La chirurgie comme moyen de traitement   
   
Face à une tumeur débutante, la chirurgie permet à elle seule de guérir certains cancers. Le plus souvent, elle s'intègre dans un traitement pluridisciplinaire, précédée ou complétée suivant les cas de radiothérapie, chimiothérapie et/ou hormonothérapie.
Une petite tumeur permet généralement une opération relativement limitée, même si le volume retiré est toujours supérieur à celui du cancer proprement dit. En effet, les cellules cancéreuses ont la capacité d'infiltrer les tissus avoisinants, raison pour laquelle le chirurgien enlève une certaine épaisseur de tissu sain tout autour de la tumeur. Précaution supplémentaire: les marges de section sont examinées au microscope pour vérifier si elles sont effectivement indemnes d'infiltration tumorale. Dans le cas contraire, une nouvelle opération plus large est pratiquée (pour autant que le cancer se situe dans un organe permettant ce genre de chirurgie) ou des traitements complémentaires prescrits (radiothérapie, chimiothérapie). Lorsque le cancer est volumineux ou situé dans une zone délicate, la chirurgie est parfois précédée par des rayons ou de la chimiothérapie. De la sorte, on réduit le volume tumoral avant l'opération, ce qui permet ensuite de recourir à une chirurgie moins mutilante ou plus satisfaisante sur le plan esthétique.
La combinaison d'une chirurgie suivie par de la radiothérapie est également utilisée, pour réduire le risque de récidive locale.

Pourquoi opérer ?


Opérer pour reconstruire  
   
Les séquelles d'un traitement curatif peuvent parfois être réparées par chirurgie reconstructrice.
L'exemple le plus connu est certainement celui du cancer du sein. Si un sein a dû être enlevé (c'est de moins en moins le cas pour les petites tumeurs), il est possible de le reconstituer soit par implantation d'une prothèse, soit en greffant un lambeau de peau et de muscle ou de graisse, prélevé au niveau du ventre ou du dos.
De telles interventions n'ont pas d'autre but que d'améliorer la qualité de vie des personnes concernées.
Opérer pour soulager  
   
En cancérologie, le pronostic à long terme est le plus souvent déterminé par la présence ou non de métastases à distance.
Lorsque le bilan d'extension réalisé au moment du diagnostic détecte des métastases, celles-ci contre-indiquent généralement une chirurgie extensive de la tumeur "mère". Une opération étendue ne permettrait pas, à l'évidence, de retirer toutes les cellules cancéreuses et n'augmenterait probablement pas les chances de guérison. Elle risquerait par contre de compromettre la qualité de vie du malade. La meilleure solution peut alors être une opération limitée, complétée par d'autres traitements (rayons et/ou médicaments).
La chirurgie reste également utile chez certains patients atteints d'un cancer avancé. On peut dans des circonstances particulières opérer une métastase apparemment unique (dans le cerveau, le foie ou le poumon) et ainsi allonger sensiblement la vie du malade.
Au stade palliatif, c'est le maintien d'un confort de vie suffisant qui motive l'opération. Il peut s'agir d'une chirurgie "de propreté" pour éviter l'infection d'une tumeur ulcérée, de la réalisation d'une dérivation digestive ou urinaire pour prévenir une occlusion, de l'interruption d'une voie de conduction nerveuse dans le cadre d'un traitement de la douleur, etc. De telles interventions n'ont rien à voir avec de l'acharnement thérapeutique!




Réduire les risques de dissémination


La chirurgie cancérologique suit des règles particulières.
Toutes les précautions sont prises pour réduire le risque de dissémination métastatique du fait de l'opération. On évite autant que possible de manipuler la tumeur et on ligature très précocement les vaisseaux sanguins par lesquels des cellules pourraient s'échapper. En plus du cancer, on enlève aussi les ganglions lymphatiques qui drainent la zone atteinte, avec le tissu cellulo-graisseux qui les entoure.

Récolter un maximum d'informations


En cours d'opération, le chirurgien peut chercher à recueillir des informations importantes pour préciser le stade de la maladie et compléter les données fournies par les examens préopératoires. D'autres précisions sont fournies par l'examen au microscope des tissus enlevés chirurgicalement.
L'examen microscopique de la tumeur proprement dite donne parfois des indications sur son agressivité ou sur sa sensibilité probable à certaines thérapies (hormonothérapie en présence de récepteurs hormonaux). Ces informations sont utiles pour déterminer si d'autres traitements sont souhaitables ou non.
Par ailleurs, la découverte d'un envahissement microscopique dans les ganglions prélevés à proximité du cancer indique un risque de micrométastases ailleurs dans le corps. Si tel est le cas, une chimiothérapie pourrait alors être proposée, afin d'éliminer les éventuelles micrométastases à distance.


L'anesthésie

Elle demande plusieurs précautions

Avant d'opérer, il faut d'abord faire des examens (prise de sang, électrocardiogramme, radiographie du thorax?) pour déterminer l'état de santé général de la personne.
En fonction des résultats, l'anesthésiste (médecin responsable de l'anesthésie) choisit les médicaments les mieux adaptés pour endormir le malade. Ces médicaments sont injectés dans une veine juste avant le début de l'opération.
En règle générale, l'anesthésiste rencontre tous les futurs opérés, la veille de leur opération. C'est l'occasion de lui poser toutes les questions que l'on aurait oublié de poser au chirurgien. L'anesthésiste surveille le patient pendant toute la durée de l'opération. La surveillance se poursuit d'ailleurs jusqu'à son réveil complet.
Afin d'éviter les risques de vomissements, consécutifs à l'anesthésie, on demande de ne rien boire ni manger pendant les heures qui précèdent et qui suivent l'opération.

1 comments:

Bien que la thérapie soit devenue plus tolérable et qu'une fois que les tables de CDF quotidiennes aient facilité l'adhésion au traitement prescrit, elle exige toujours que les patients prennent leurs médicaments régulièrement pour obtenir une suppression virale soutenue. Lorsque l'observance du traitement est inadéquate et que la réplication n'est donc pas supprimée, mais dr itua a promis et a tenu sa promesse en me disant que je partagerai son travail avec les personnes souffrant d'infertilité, d'herpès, de cancer du col de l'utérus, de cancer des os, de cancer du cerveau, de la prostate Cancer, leucémie, tumeur cérébrale, cancer du sein, cancer du sang, cancer du rein, hépatite A/B, fibrome, VIH/sida, maladie d'Alzheimer, arthrite, BPCO, diabète, inflammation du foie/rein, glaucome, cataracte, dégénérescence maculaire, Maladie cardiovasculaire, maladie pulmonaire. hypertrophie de la prostate, ostéoporose. maladie d'Alzheimer, VPH,
Démence. Fibromyalgie, maladie de Parkinson, j'ai lu beaucoup de témoignages en ligne de Jesus McKinney,Achima Abelard et Tara Omar sur la façon dont dr itua les guérit avec sa phytothérapie. Je l'ai contacté par e-mail drituaherbalcenter@gmail.com. puis nous parlons sur WhatsApp +2348149277967 il m'a donné des instructions sur la façon de le boire pendant deux semaines puis après l'avoir bu pendant deux semaines je suis allé faire un test puis j'ai découvert que j'étais guéri du VIH et du VPH, je le remercie, je lui envoie aussi un peu d'argent pour l'appréciation, contactez ce grand médecin de fines herbes si vous êtes une personne malade.

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