mardi 15 mars 2011

Types de traitements Radiothérapie

Radiothérapie

A propos de ce type de traitement

Vous trouverez dans ce chapitre de nombreuses informations sur le traitement par radiothérapie. Pour y accéder, cliquez sur les catégories ci-dessus, ou téléchargez directement la brochure en cliquant sur la brochure proposée ci-dessous.
Vous pouvez aussi contacter le cancerphone ou cliquer ici pour obtenir le document par la poste.

Introduction

Un traitement fréquent

Au cours des 20 dernières années, la radiothérapie a connu un essor considérable grâce à d'importants progrès techniques.

On estime qu'environ 60% des patients atteints d'un cancer ont besoin, à un moment ou l'autre de leur maladie, d'une radiothérapie.

Utilisée soit seule, soit en association avec d'autres traitements, elle peut intervenir à tous les stades de la maladie :

• irradiations en complément d'une chirurgie;
• irradiations curatives;
• irradiations palliatives.
IMPORTANT : Il n'est pas possible d'aborder ici tous les cas particuliers. C'est pourquoi un dialogue de qualité avec les membres de l'équipe soignante est capital. Posez-leur vos questions et demandez de l'aide chaque fois que nécessaire.



Effets de la radiothérapie 

Mode d'action des rayons

La radiothérapie utilise des rayonnements de très haute énergie qui perturbent la multiplication des cellules et finissent par les détruire. Tous les tissus peuvent être touchés à des degrés divers, mais ce sont les organes à fort taux de renouvellement cellulaire qui y sont particulièrement sensibles. La plupart des cancers présentent une intense prolifération cellulaire, d'où leur sensibilité aux rayons. Des mécanismes de réparation moins efficaces dans les cellules cancéreuses que dans les cellules saines font que les dégâts s'accumulent davantage au sein de la tumeur. Ceci explique que le traitement parvienne à détruire le cancer, tout en permettant aux tissus sains de se maintenir en vie.
L'irradiation est très souvent émise par des accélérateurs linéaires de particules (radiothérapie externe). Une autre technique consiste à mettre des substances radioactives au contact direct de la tumeur (curiethérapie).
L' effet biologique des rayons dépend de la dose délivrée à un volume donné: plus une tumeur sera de grande taille, plus elle contiendra de cellules et plus la dose nécessaire pour la détruire sera élevée.
Enfin, le fractionnement des irradiations en une série de séances espacées de plusieurs heures ou d'une journée est à la base de l'efficacité des irradiations.
Dans la zone irradiée, les rayons peuvent endommager les tissus sains : leur tolérance varie d'un organe à l'autre, mais, en règle générale, le risque d'effets secondaires augmente avec la dose délivrée et les volumes irradiés.

Modes d'administration 

intoduction

Le souci du médecin radiothérapeute est d'adapter le traitement à chaque patient mais aussi à chaque tumeur. Actuellement, les équipements disponibles permettent d'individualiser le traitement. Cela repose sur la connaissance exacte de la position de la tumeur par rapport aux organes avoisinants ainsi que de ses extensions éventuelles.
Il s'agit donc de délivrer une dose suffisante au niveau de la tumeur permettant le contrôle local de la maladie tout en minimisant la dose aux organes sains avoisinants.
L'irradiation externe
L'irradiation externe ou "téléthérapie" est la forme la plus fréquente de radiothérapie. La machine utilisée pour produire les rayons est appelée " accélérateur linéaire".
L'irradiation externe permet de traiter des volumes importants, même s'ils sont situés en profondeur dans le corps. Les rayons traversent la peau et les organes superficiels avant d'atteindre leur cible.
Ce traitement ne nécessite pas d'hospitalisation, mais suppose des allers - retours quotidiens du domicile vers l'hôpital pendant plusieurs semaines.
Délivrer une dose suffisante de rayons pour détruire la tumeur, tout en respectant au maximum les tissus sains avoisinants, demande une préparation minutieuse. Les rayons n'agissent que -et uniquement- dans la partie du corps qui les reçoit, d'où la nécessité de déterminer leur cible avec grande précision.
C'est pourquoi le radiothérapeute déterminera très soigneusement la position exacte de la tumeur et ses extensions éventuelles. Les étapes sont les suivantes:
le scanner permet de déterminer la position de la tumeur, ses rapports avec les organes avoisinants et la densité relative des différents tissus qui seront traversés par les rayonnements. Viennent ensuite le choix du type de rayonnement, des faisceaux d'irradiation, et la délimitation des zones qui ne peuvent pas être irradiées pour respecter les organes sensibles aux rayons.
Les données ainsi recueillies sont transférées par ordinateur à une unité de dosimétrie où un physicien établira, en collaboration avec le radiothérapeute, le plan du traitement et calculera la distribution de la dose.
le simulateur est un appareil de radiographie qui permet de reproduire fictivement les différents faisceaux d'irradiation préalablement calculés par l'unité de dosimétrie et d'en vérifier l'exactitude. A cette occasion, des points sont indiqués sur la peau du patient pour servir de repères lors de l'administration ultérieure des rayons.
Ensuite, viendront les séances d'irradiation proprement dites. Chaque séances demande une extrême précision en matière de positionnement et d'administration des rayons. Différentes précautions sont prises à cet égard : ordinateur contrôlant tous les paramètres de traitement pour chaque patient, laser et moyens de contention pour assurer la reproductibilité des placements, etc.
Le radiothérapie externe est habituellement administrée à raison d'une brève séance par jour, cinq jours par semaine, pendant plusieurs semaines d'affilée. La durée totale du traitement n'est pas fonction de la gravité du cancer, mais de la recherche d'une efficacité maximale.

La Curiethérapie
On parle d'irradiation interne, également appelée "curiethérapie" ou "brachythérapie", lorsque la source radioactive sous forme d'implants est mise au contact direct de la tumeur. Ces implants peuvent être temporaires ou définitifs. Ils permettent de délivrer de fortes doses d'irradiation dans un volume limité. Un tel traitement exige généralement une petite intervention chirurgicale et une hospitalisation de courte durée.
On peut distinguer deux types d'implants:
  • des implants temporaires où les sources radioactives sont laissées en place pendant une durée variable selon les indications et la technique utilisée;
  • des implants permanents où des radio-isotopes, souvent de faible énergie, sont placés dans la tumeur et laissés en place définitivement.
On peut par ailleurs distinguer la curiethérapie à bas débit de dose (le traitement dure plusieurs jours) et celle à haut débit de dose (l'irradiation ne dure que quelques minutes).


Traitements sur mesure 

Chaque traitement est personnalisé

La radiothérapie s'emploie seule ou en association à d'autres traitements, au cas par cas.

Elle permet dans certaines circonstances d'éviter une chirurgie trop mutilante en raison de la localisation tumorale ou de son degré d'extension.

Parfois, elle précède la chirurgie pour réduire le volume de la tumeur à opérer.
La radiothérapie peut également suivre la chirurgie pour détruire d'éventuels foyers tumoraux résiduels.
Des associations "radiothérapie - chimiothérapie" sont également possibles. C'est même un domaine en pleine expansion. L'usage de médicaments anticancéreux permet d'augmenter la sensibilité des cellules malignes (= cancéreuses) à l'action des rayons.
Enfin, la radiothérapie peut être utilisée à titre palliatif, par exemple pour lutter contre les douleurs dues à des métastases osseuses.

Effets secondaires et conseils pratiques 

Introduction

Ces effets secondaires sont transitoires et disparaissent généralement quelques semaines après la fin du traitement. Les effets secondaires se manifestent essentiellement dans la partie du corps qui est irradiée, et ce, en fonction de :
  • la dose de rayons reçue,
  • de la durée du traitement
  • et de la plus ou moins grande sensibilité des organes concernés.
Leur intensité et leur durée sont variables d'un individu à l'autre.


• Au niveau de l'abdomen : diarrhées, cystites (irritation de la vessie), anites (irritation de l'anus), vomissements, douleurs abdominales, etc.;

• Au niveau du thorax : dysphagie douloureuse (difficultés à avaler), toux;

• Pour la bouche: perte du goût, diminution de la salivation, irritation des muqueuses;

• Au niveau de la peau: rougeurs, picotements, pigmentation;

• Au niveau des organes génitaux: risque de stérilité.


La radiothérapie ne s'accompagne pas d'une perte des cheveux, sauf en cas d'irradiation du crâne.
Nombreux sont les patients qui éprouvent une fatigue croissante au fil des séances successives. Celle-ci est due à la radiothérapie proprement dite, et aux nombreux déplacements qu'elle occasionne.
Parfois, on constate des effets secondaires retardés qui se manifestent des mois ou des années après l'arrêt du traitement. Il peut par exemple s'agir d'une décoloration de la peau ou d'une dilatation des petits vaisseaux sanguins cutanés.
Toute une série de conseils pratiques peuvent être donnés aux patients pour atténuer les inconvénients de la radiothérapie.
N'hésitez jamais à informer le médecin ou l'infirmière des difficultés que vous éprouveriez pendant le traitement. Ils pourront vous donner des conseils adaptés à votre cas particulier et, si nécessaire, des médicaments pour vous soulager.
 La présence ou l'intensité des effets secondaires n'a rien à voir avec l'efficacité du traitement.
 

La Fatigue

La fatigue

La fatigue intense est une plainte particulièrement fréquente chez les personnes atteintes d'un cancer. Elle peut être due à la maladie proprement dite, mais aussi aux traitements.

La radiothérapie entraîne souvent une fatigue progressive, causée par les rayons. Elle est fonction de la dose, de la durée totale du traitement et de la plus ou moins grande surface corporelle irradiée. Vient s'y
ajouter la lassitude des nombreux déplacements depuis le domicile jusqu'à l'hôpital.

La fatigue peut persister pendant 2 à 3 mois après la fin du traitement. Pour aider les malades pendant cette période particulièrement difficile, la Fondation contre le Cancer leur propose un service d'accompagnement. Si nécessaire, des bénévoles formés à l'écoute et encadrés par des travailleurs sociaux vont chercher les patients à leur domicile, les conduisent à l'hôpital et les ramènent ensuite chez eux. En plus d'une aide aux déplacements, ce service offre un soutien moral appréciable.
Quelques conseils

• Pendant toute cette période, il est recommandé d'adapter ses activités en fonction de l'énergie dont on dispose.
• Lorsque vous avez besoin de repos, allongez-vous pour de courtes périodes. Plusieurs brefs épisodes de repos sont préférables à une longue sieste.
• Ne dormez pas trop longtemps ou trop fréquemment pendant la journée pour conserver un bon sommeil nocturne.
• Réservez votre énergie pour les tâches les plus importantes et n'hésitez pas à vous faire aider. Une brochure détaillée sur le sujet peut être obtenue à la Fondation contre le Cancer.


Au niveau de la peau 
On peut constater des signes locaux qui rappellent un coup de soleil (rougeur, démangeaisons, picotements, peau qui pèle, pigmentation). En effet, à chaque irradiation, les rayons doivent traverser la peau pour atteindre la tumeur.

Ces manifestations apparaissent dans les premières semaines du traitement, pour disparaître 4 à 6 semaines après son arrêt.

Une sécheresse et une pigmentation cutanée peuvent persister par la suite.

A très long terme (des mois ou des années plus tard), on constate parfois une dépigmentation de la zone irradiée accompagnée d'une dilatation progressive des petits vaisseaux sanguins superficiels, en fonction de
la dose délivrée à la peau.

Quelques conseils

• Evitez toute irritation supplémentaire de la peau située dans les champs d'irradiation (soleil, chaleur ou froid intense, produits cosmétiques?).
• Lavez les zones irradiées à l'eau claire, sans frotter ni utiliser de savon. Préférez une douche tiède plutôt qu'un bain.
• Séchez la peau avec un linge doux (sans frotter) ou au sèche-cheveux réglé sur froid.
• Evitez le frottement des vêtements et sous-vêtements contre la peau (idéalement: vêtements lâches en coton).
• Laissez la peau irradiée à l'air libre, en la protégeant du soleil.
• Evitez de vous gratter.
• Gardez la peau aussi sèche que possible, même dans les plis. Pour absorber l'humidité des replis cutanés, placez-y un morceau de tissu doux, mais n'utilisez pas de talc.
• En cas d'irradiation du visage, utilisez uniquement un rasoir électrique. Evitez l'après-rasage ou toute lotion contenant de l'éther ou de l'alcool.
• Lorsque le crâne est irradié, il s'ensuit une chute des cheveux (uniquement dans la zone d'irradiation) transitoire ou définitive, en fonction de la dose totale de rayons. Il en va de même pour les poils. Si vous
désirez porter une perruque, choisissez-la avant le début du traitement pour un résultat ressemblant à votre chevelure naturelle (possibilité de remboursement mutuelle).


Au niveau du sein

Des tiraillements, démangeaisons ou une sensation de moiteur sous le sein ou dans l'aisselle sont fréquents vers la 3ème ou la 4ème semaine de radiothérapie. D'éventuelles douleurs ou un gonflement disparaissent généralement après 4 à 6 semaines.

Un changement du volume du sein irradié peut persister de façon définitive.

Au niveau de la bouche, de la gorge ou de l'oesophage

Irritation des muqueuses, altération ou perte du goût, bouche sèche (diminution de la salivation), douleurs ou difficultés pour avaler sont autant d'effets secondaires possibles.

Quelques conseils

• Avertissez votre dentiste des traitements que vous allez recevoir. Parfois, il est nécessaire d'extraire préventivement certaines dents qui risquent de poser problème pendant la radiothérapie. Surveillez votre hygiène dentaire et rincez-vous régulièrement la bouche avec la lotion conseillée par votre médecin ou votre dentiste.
• En cas de muqueuses irritées, fumez le moins possible, évitez les boissons contenant du gaz ou de l'alcool et méfiezvous des aliments trop épicés. Vous pouvez remplacer les jus de fruits acides (orange, pamplemousse?) par des jus de pommes, de raisins ou d'abricots. Buvez avec une paille en cas de difficultés pour avaler. Consommez vos aliments tièdes plutôt que chauds.
• Pour neutraliser une sensation de mauvais goût dans la bouche, faites des gargarismes à la tisane de camomille.
• Lorsque la bouche se dessèche, buvez fréquemment (petites gorgées), sucez un glaçon ou mâchez un chewing-gum sans sucre. Prenez une alimentation liquide ou semi-liquide (potages, crèmes, compotes, viandes en sauce?). Si nécessaire, votre médecin peut vous conseiller des vaporisateurs buccaux ou de la salive artificielle.

Au niveau de l'abdomen (ventre)


Des nausées ou de la diarrhée peuvent se manifester, de même que des ballonnements ou de la constipation. Des médicaments permettent d'éviter ou de soulager ces symptômes.

Essayez de conserver une alimentation saine et équilibrée. Elle apportera à votre corps les éléments vitaux dont il a besoin, à un moment où la maladie et les rayons le sollicitent particulièrement. Dans certains cas, le médecin vous prescrira un régime alimentaire particulier.

Quelques conseils

• Si vous avez des nausées, fractionnez les repas (petites quantités réparties à longueur de journée) et évitez les aliments gras. Mangez des aliments servis à température ambiante, dans une pièce pas trop chauffée, loin des odeurs de cuisson. Mangez lentement et évitez de boire pendant les repas ou collations. En dehors des repas, buvez surtout des boissons fraîches et évitez celles qui irritent l'estomac (alcool, café, thé?). Si vous vous reposez après un repas, faites le en position assise plutôt que couchée.
• Les médicaments sont une source d'irritation possible pour l'estomac. Si vous devez en prendre, absorbez-les avec suffisamment de liquide et jamais à jeun, sauf avis contraire du médecin.
• En cas de diarrhées, buvez abondamment (eau minérale sans gaz, bouillon, jus de fruits ou de légumes, eau de riz?). Evitez les aliments qui vous donnent des gaz. Mangez de petites quantités, mais à plusieurs reprises.
• Ne suivez pas de votre propre initiative un prétendu régime contre le cancer. Ils sont généralement inefficaces, monotones et risquent d'affaiblir votre organisme.
• Si vous perdez beaucoup de poids, il peut être souhaitable d'enrichir votre alimentation. Demandez conseil au médecin ou à la diététicienne.

L'action des rayons sur votre système digestif ne s'estompera pas du jour au lendemain. Ces quelques conseils restent donc valables 2 à 3 semaines après l'arrêt de la radiothérapie, avant de revenir progressivement à votre alimentation habituelle.   



Au niveau du bas-ventre (région uro-génitale)

Les rayons peuvent être responsables d'une irritation de la vessie ou du rectum, ce qui entraîne des douleurs pour uriner ou aller à selle. L'irradiation de certains cancers gynécologiques peut s'accompagner d'un arrêt des règles.

En ce qui concerne la sexualité, la radiothérapie a parfois des conséquences physiques (irritation des muqueuses avec rapports douloureux) ou psychologiques (diminution de la libido). Dans certains cas, la fertilité peut être définitivement compromise.

Quelques conseils

• Si, après la guérison, vous souhaitez avoir des enfants, parlez-en avec votre médecin avant le début du traitement pour permettre si nécessaire un prélèvement de sperme ou de tissu ovarien.
• Demandez-lui également si l'instauration ou la poursuite d'une contraception est nécessaire.

Des progrès nombreux

Nombreux ont été les progrès au cours des 20 dernières années.
Les accélérateurs de particules permettent d'irradier des cancers plus profonds, tout en épargnant davantage les tissus superficiels.
Depuis le début des années 90, des ordinateurs plus performants et un nouveau système de délimitation des faisceaux, appelé collimateur, ont permis la réalisation de champs d'irradiation complexes, plus respectueux des tissus sains avoisinants.
La modulation d'intensité rend possible des variations d'intensité à l'intérieur même du champ d'irradiation.
La radiothérapie de conformation permet de limiter au strict minimum le volume irradié à la tumeur en diminuant les marges de sécurité. Cette réduction de volume irradié permet de diminuer les effets secondaires ou d'augmenter la dose et par conséquent d'accroître l'efficacité du traitement. Ceci est rendu possible par les progrès considérables de l'outil informatique: les nouvelles stations de planification de traitement permettent non seulement de voir le patient et ses structures internes dans un espace virtuel et de s'y déplacer mais aussi de calculer le comportement des faisceaux dans un volume et non plus dans une succession de plans parallèles indépendants. L'introduction de la troisième dimension offre aussi la possibilité d'utiliser un plus grand nombre de faisceaux et par conséquent de mieux cibler la tumeur.

Aujourd'hui, la radiothérapie est devenue une discipline complexe, exigeant la collaboration de médecins radiothérapeutes, d'infirmiers-techniciens spécialisés et de spécialistes en physique médicale.

Coût du traitement 

La mutuelle intervient

La radiothérapie est reprise dans les "gros risques" et est donc remboursée par la mutuelle. Celle-ci intervient également dans les frais de déplacement suivant des modalités variables d'une fédération à l'autre.

En cas de douleur 

Des médicaments peuvent vous aider

Les rayons sont totalement indolores mais les irritations qu'ils engendrent au sein de certains tissus peuvent causer des douleurs.

N'hésitez jamais à le signaler au médecin.

Dans la plupart des cas, il est possible de vous prescrire des médicaments pour vous soulager.





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